Après plusieurs jours à devoir finir pas mal de trucs "pour la semaine dernière", j'avais pas mal de sommeil en retard : j'ai donc émergé en ce jeudi de l'Ascension (nommé ainsi pour honorer la mémoire d'un fameux épisode d'une certaine série télé -seconde saison, 1994- se déroulant principalement en Virginie, du côté de la Skyland Mountain) sur le coup des 15h, après plus d'un tour de cadrant.
Hier soir, Stéphanie (une vieille amie de Dude, de passage dans le coin avant de repartir pour ses Iles), le sus-cité Dude (alias l'Alain Prost du bassin dolois) et moi-même sommes allés soutenir le cinéma d'auteur et les petites structures de la côte Ouest américaine en allant voir un film à petit budget sobrement intitulé "L'affrontement final" ; oui, nous avons une fois de plus répondu à notre instinct régressif et à nos puériles phases nostalgico-comicsiennes, et sommes allés voir X-Men 3.
Bon, je vais pas m'étendre, car j'aurais presque l'impression de m'excuser, chose que je déteste, hin hin hin... Ce troisième (et dernier, "en attendant"...) épisode n'est probablement pas le meilleur, en admettant qu'un seul aura valu le qualificatif de "bon"... Encore un bon vieux débat stérile en puissance.
J'avoue avoir du mal à avoir un minimum d'objectivité, en étant la cible idéale de ces enfoirés de marketteux de chez Marvel (ou des studios, peu importe, en définitive) : la lecture de certains épisodes de ce fameux comics qu'était "X-Men" (lors de leur publication française dans "Spécial Strange", au tout-tout début des années 80), alors même pas agé de 10 ans, fût un réel petit événement à la limite du traumatisant pour mon esprit s'ouvrant alors sur de nouveaux trucs titillant mon imagination : la lecture de bandes dessinées.
Désormais trentenaire, voir dès les premières minutes le grand russe métallique et le poilu mutant canadien s'envoyer en l'air à l'assaut d'une sentinelle, j'avoue que je me suis complètement laissé avoir... A quelques détails près.
Une fois de plus, la production du film aura pris soin d'aller gratter partout là ou ca pouvait stimuler les lecteurs de tout âge, et ca fonctionnait : assis à ma droite, 3 gamins, mon âge à eux trois (maximum), avaient l'air de prendre un pied, sévère.
Et nous autres, dans notre coin, à se demander si dans la seconde qui allait suivre, nous verrions un squelette d'adamantium retomber lourdement au sol, comme dans le terrible "Days of future past" ("Uncanny X-Men" #141 et #142, arc classique et quasi-culte paru début 1980, et qui instaure les bases d'une optique résolument sombre quand à l'avenir de l'humanité - de l'humanité Marvel, du moins)...
Au delà du fait de répondre négativement à la question "Etait-ce réellement envisageable d'adapter 30 ans de la continuité d'une bande dessinée en 3 films ?", on pourra regretter quelques altérations et quelques raccourcis proposés par ces versions cinématographiques, qui, ajoutés à chaque sortie, donnent un truc assez indigeste pour les amateurs du comics (je parle même pas de "fans", hein ; eux doivent être hystériques, enthousiastes ou super-remontés).
Du coup, dur d'apprécier de voir ses petits rêves de môme (voir évoluer le Fauve, Angel ou Le Fléau "pour de vrai") être démontés, remontés et redémontés pour un truc complètement bâtard, qui essaie vainement trop de satisfaire tout le monde, ceux qui connaissent le comics comme ceux qui ne connaissent que dalle. D'où une déception, donc, même si pas mal de ces clins d'oeil ont pu me rappeler à quel point je pouvais être réceptif dès lors qu'on jouait sur mes amours d'enfant... 8)
X-Men 3 glisse donc par moment dans une bonne grosse niaiserie (certains dialogues sont pires que le worst of des 2 premiers), dans le bon gros pathos qui tâche (le traitement des relations homme/mutant, surtout), et le complètement raté (le triangle amoureux Jean/Logan/Scott devient couple, très mal fichu, un affrontement Iceberg/Pyro totalement loupé) ; certains personnages sont exploités de la manière la plus nulle possible (Angel en pièce rapportée complètement insipide et superflue, Jamie Madrox ou Cain Marko en moutons dociles à l'air rebelle digne d'un Vin Diesel, pathétiques et gratuits, Leech en création gouvernementale, perdant toute son aura de création spontanée et bienvenue dans la généalogie mutante originelle), ou font offices de détails pour amadouer le lecteur, foireux au possible (allez hop, on vous montre Moira Mc Taggert, la salle des dangers, une sentinelle, on ne fait guère plus qu'évoquer les Morlocks, en les transformant quasiment instantannément en suiveurs inconditionnels...).
Bref.
=> Mathieu, alias PocheMan, est parti se la pèter à Cannes, en espérant pouvoir vomir plus que lors de son dernier séjour la-bas, car, comme il le dit lui-même, "y'a pas moyen de faire autrement, même avec de bonnes intentions, et puis vu les bras que ca va me coûter, autant boire pour oublier".
C'est pas gagné, mais entre deux défoncages aux frais des studios (je suis sceptique mais bon), il s'est envoyé un max de films (enfin un journaliste intégre et interressé, warf), et semble même faire des signes d'avertissement.
Brêves tentatives de retranscription issues d'un vaillant décodage de messages téléphoniques :
"Faut que tu écrives dans ton blog que le dernier film de Richard Kelly est carrément mortel, mec.
- Euh, tu sais, je m'occupe pas du site internet des Cahiers du Cinéma, hein...
- On s'en fout, je vais t'envoyer des tophs, en plus Kelly il avait l'air super sympa, tu diras que je lui ai parlé super sérieusement et qu'il a rigolé, ca doit être mon accent, ca me joue des tours et...
- Ouais, bon, Poche, pourquoi ce film, c'est quoi déjà ?".
"Southland Tales" de Richard Kelly, eh ouais, même avec The Rock et Sarah Buffy machin, c'est censé être vachement bon. Waouh. Bon, moi, je fais partie de ces gens qui ont adoré "Donnie Darko", donc je partais confiant, mais là, va falloir attendre novembre ? Chier.
"Avida", de Kervern et Delépine, est parait-il "très beau, très bancal au sens agréable du terme, hein, mieux fichu qu'"Aaltra", mais pas pareil, non plus, moins drôle mais plus zarb"... Ah d'accord.
"Tu te souviens qu'on était allés voir "La vie de Jésus" de Bruno Dumont ? T'avais vu "L'humanité" ?
- Si j'ai lu L'Humanité ?! allo ?
- Nan, si tu l'a vu, avec un V. Ou son "Twenty nine palms" ?
- Euh, je l'ai vu, "29", mais je suis pas sûr d'être rentré dedans, j'avais pas trouvé ça très...
- Ah putain, Ju, "Flandres", ca calme, c'est vachement bien, c'est du putain de bon cinéma français. T'es allé voir "Marie-Antoinette" ?
- Euh non, Drine doit y aller avec son frangin ce weekend, moi je sais pas trop, je suis pas super chaud.
- ...Mais tu devais pas aller au ciné hier ? T'es allé voir quoi ? L'Almodovar ?
- Euh non, non plus, j'aimerais bien mais euh chui allé voir X-men avec Dude et...
- Ah puuuuutain t'es vraiment une merde, t'es trop nul, je te parle plus, tiens.
- Naaaaan mais tu peux pas comprendre, Poche. Il est comment le Sofia ?
- Super réussi. Ah j'ai par contre je me suis fait baisé sur l'Inarritu, j'ai pas pu le voir, chui vert. Bon, le Sofia, c' est son meilleur, hein, faut y aller, ca en vaut la peine.
- Ouais mais toi t'avais déjà préféré "Lost in..." à "Virgin..." alors je sais pas trop si...
- Eh par contre Ju, j'ai vu un truc qui devrait te plaire, j'ai oublié le titre, c'est du norvégien, je crois, c'est beau à tomber par terre, tu vas flipper ta race quand tu le verras, attends, faut que je me souvienne, euh...
- Ah ouais ? Balance, c'était quoi ? Parce qu'à part l'Almodovar ou le Coppola, j'ai pas eu des tonnes de retours, moi. J'ai pas trop suivi Cannes cette année, tu sais, moi ce genre de trucs je m'en fout un peu et en plus eh ben je...
- Attends Ju y'a une meuf à côté, je suis sûr que je la connais, je te rephone. A+ mec.
- Ah euh bon d'accord" TUUUUUUUT.
Mec, si tu veux faire de chouettes compte-rendus, garde tes photos et fais un blog, je sais pas, moi, je suis pas ton secrétaire. Enflure de poivrot.
=> Le numéro 16 de L'affaire du Siècle tome 5 est sorti ; 28 planches avec Monsieur, RétroMonkey, Nancy Pena, Jérémy Jorandon, Sandrina Cambera, Jocelyn Teillard, Pirik, Alx, Tilt, Louis-Bertrand Devaud, Fred Neidhardt, et mézigue. Dispo dans les points de non-vente habituels, et en peudeufeu sur le site.
=> La diffusion samedi soir sur Arte du très bon film "Surplus" d'Erik Gandini (qui avait remporté en 2003 un prix à l'IDFA - International Documentary Film Festival, et qui est bien entendu dispo à la vente) donne un écho à la Mention Spéciale du Jury glanée au Miami Film Festival pour "Gitmo", du même Gandini et de Tarik Saleh, "award for the filmmakers' courage to pursue the truth in the face of the authority power".
Encore un truc qu'on ne verra que grâce aux exploitants qui avaient joué le jeu de "The Corporation", du "Cauchemar de Darwin" et autres "Supersize me", et dont on ne parle pas beaucoup à Cannes, pendant qu'une cohorte de pétasses de chez L'oréal défilent sur les marches écarlates.
"Surplus" fait preuve d'une créativité assez soufflante : avec un montage complètement inattendu pour un documentaire à tendance critique socio-politique, les rouages de l'économie libérale mondiale sont montrés sous un angle radicalement nouveau par Gandini, qui use d'une audace (les emprunts vidéo, le mixage stroboscopique, le détournement, la bande-son) bienvenue. Cela fait déjà un moment que l'engagement politique de certains vidéastes, de certains réalisateurs, prend une tournure revigorante, Gandini mérite bien la reconnaissance qui lui tombe dessus petit à petit. Il faut voir "Surplus" : rien de très neuf dans ce qui est dit, mais les angles usés, eux, sont carrément inédits.
Gitmo - the news rules of war.
=> Lectures de ces derniers jours :
- "Anatomie de l'éponge", de meussieur Guillaume Long, à paraître bientôt aux éditions Vertige : avis détailé dans les jours qui viennent.
- Il y a un Friedkin dans les tuyaux, si je ne m'abuse. Plutôt que de vouloir en savoir plus sur ce nouveau projet, j'ai plongé dans l'histoire du mec avec "le petit livre de William Friedkin", par Gilles Boulanger (au Cinéphage).
Un cinéaste qui aura quand même pondu quelques jolis trucs bien transgressifs, bien subversifs, et qui, apparemment, n'en a pas fini avec cette manière de faire. Le bouquin est une suite d'entretiens, et s'il ne donne pas spécialement envie de discuter avec le bonhomme (qui n'a pas l'air des plus affables), il donne envie de combler ses lacunes quant à sa filmographie.
- "L'aventure permanente" signé Ibn Al Rabin, édité chez Q-Press, dans la collection "Hic sunt leones".
Le plus grand théoricien des grands ensembles que le monde de la bande dessinée ait connu est donc de retour avec un drôle de bouquin qui, une fois de plus, donnera joie et satisfaction aux amateurs du bonhomme. Extirpant du manuel du parfait aventurier les plus gros clichés inhérents au genre "aventure", Ibn Al Rabin les triture comme le forcené qu'il est pour pondre une sorte de parodie totale, poussant le truc jusqu'à un point rarement atteint.
On est davantage dans l'humour délocalisé de "Cot cot" que dans la vraie fausse-poésie de "Le monde change trop vite", tout en restant bien évidemment dans l'univers si personnel de cet espèce d'helvète un peu bargeot quand même. Le format est marrant, l'objet pas terrible (une espèce de sur-couverture plastique transparente, un peu comme pour une thèse ou un rapport de stage), mais l'histoire vaut largement la peine que cela sera à trouver ce bouquin.
- "Le dernier Fluide Glacial paru en kiosque, et osant porter haut les couleurs d'une thématique "spécial Beatles", est-il le pire numéro paru dans l'histoire de Fluide ? Discutez". 8)
- En parlant de numéros thématiqes : par hasard, en faisant un peu le tri dans "la salle d'archives" (un débarras rempli de cartons de bouquins, de presse, etc, que je ferais mieux de jeter, comme disent ma copine, mes amis, ma mère quad elle passe...) (ILS NE PEUVENT PAAAAS COMPREEEEENDRE !!!!), relecture de vieux Psykopat, histoire de.
Tombé notamment sur le hors-série n°1, datant de mars 93, avec un sommaire qui "le faisait déjà grave" à l'époque, mais qui le fait encore pas mal : Mathis, Got, Killoffer, JC Menu, Willem, Trondheim, Katou... Et les éternels Carali, Ivars, Ouin, Corcal...
Le thème de ce grandiose premier hors-série étant "Débouche-lavabo" (si, si), il est étonnant de constater que la bande du Zébu avait réussi à féderer autant de bétise autour de leur projet, les auteurs ayant tous (quasiment) refourgué des planches sur ce thème. Marrant, même 12 ans après.
Le vieux Psyko fait moins vieux que le dernier Fluide. C'est pas rien, quand même, merde.
- Après 2 récentes conversations avec des proches, l'envie de relire du Fante. Ca arrive, c'est cyclique, ca revient régulièrement.
Chez moi, certains bouquins, tous les 2 ans environ (je dis 2 ans aujourd'hui, je dirais 5 ou 6 demain, hein...), se rappellent à mon bon souvenir, conglomérat d'idées revenant à l'esprit, jusqu'à ce que je prenne le bouquin en main, le soir venu.
Et là, c'est soit "Oh et puis non, j'ai encore tellement de trucs en retard !", soit "allez, on y retourne". La deuxième catégorie n'est pas très fournie ; tant mieux pour les milliards de trucs que j'ai déjà loupé, hein.
Dedans, il y a des trucs qui m'ont marqué, qui m'ont emballé, comme "1984" d'Orwell (j'ai bien du le lire 10 fois, celui-là), il y a les 70+ épisodes du "Sandman" de Gaiman, il y a un ou deux Buzzati (gros choc de lecture à 13-14 ans), il y a quelques vieux Spécial Strange (ben ouais, hein, on n'efface pas son adolescence monomaniaque des mutants en claquant des doigts), il y a "Un trop bruyante solitude" de Hrabal (après l'hiver, hein), il y a le "Comix 2000" de L'Asso (parce que j'y trouve toujours quelque chose qui m'avait échappé), il y a "La course..." de Murakami (la lecture la plus remuante de cette dernière décennie, pour moi), il y a les premiers "Stray Bullets" de Lapham, il y a l'"Habitus" de James Flint, le "L'opéra des gueux" de Kaikô, il y a quelques trucs, comme ça...
Et il a un ou deux, ou trois, voire quatre Fante.
Relu dans la foulée "La route de Los Angeles", "Demande à la poussière", et "Mon chien Stupide". Repris 3 petites claques, trois intenses moments de satisfaction, agrémentés d'une solide dose de tristesse à la fermeture du bouquin.
Comme si je devais être surpris ?! On est pas surpris par des relectures de bouquins ayant été appréciés. Au mieux, on se laisse surprendre, mais ce n'est plus du domaine de la vraie magie initiale, c'est devenu autre chose. Une espèce de familiarité avec l'objet, souvent adjointe d'une plus-value sentimentale ("tiens, la dernière fois que j'ai lu ce bouquin, j'étais ici, avec untel, à faire ça..."), une sorte d'habitude prise au fil de la vie.
Et si Bandini, cet espèce d'énergumène rescapé de la vie, me casse les couilles un jour, avec ses éternelles histoires de mec un peu fatigué de tout, en attente de que dalle mais espérant toujours quelque chose, quelque part, alors ce sera le moment de me poser de vraies questions...
Parce que Fante, c'est quand même vachement bien.
=> Il y a un peu plus de 2 ans naissaient les éditions Misma, nouvelle porte de sortie vers une certaine forme de création en bande dessinée, débridée, décomplexée, et intuitive à souhait. Estocafich et El Don Guillermo auront tôt fait de convier à cette grosse partouze graphique bien des stars de l'underground comme Gauthier, Anne Simon, Camille Bléhaut, Nylso, Gangster Ced, Melvil Massacre, Ronald Granpey... Pour ne citer que quelques-uns d'entre eux.
Une quinzaine d'ouvrages plus tard, un magnifique catalogue qui fait passer le catalogue de la Redoute pour un ticket de métro, surtout de par son contenant : Misma propose un catalogue sur cd-rom (y compris la revue Dopututto), carrément classe et généreux, qui, tout en faisant le tour du propriétaire, balance gracieusement l'intégralité (en pdf) de certains de leurs ouvrages (et pas des moindres) : "Le tandem de Bobo et Louison", par El don Guillermo ; la nouvelle fournée de Dopututto #6 (avec Jonathan Martin, El don Guillermo, Marie de Monti, Nylso, William Petica, Anne Simon, Sandrine Martin, Marion Puech, Gauthier et Estocafich), soit 40 pages pour 3,50 euros, on se croirait presque chez Futuropobis tellement ces gens sont sympas ; "Gousse et Gigot" d’Anne Simon ; "Ils ont des nouveaux pouvoirs" et "Raison d’état" de Ronald Grandpey.
Une bonne manière de communiquer un enthousiasme contagieux, et, en ces temps ou les invitations à aller consulter tel ou tel site pour découvrir tel ou tel titre deviennent nombreuses, une chouette façon de s'adresser de manière moins anonymement aux lecteurs potentiels, voir aux libraires.
Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, celles et ceux qui iront fouiner du côté des commandes de Misma risquent forts de voir leur boîte aux lettres héberger, de temps à autre, de gentilles offrandes toulousaines, comme "Le risque du danger", de Ronald Grandpey, "premier de la collection des cadeaux offerts par Misma".
Puisqu'on vous dit qu'ils sont sympas, chez Misma.
=> Chose promise, truc machin : un petit rappel pour le journée/soirée du vendredi 9 mars, journée à haute teneur en vapeur de Montana et de beats bizarres signés Institubes, merci à Akroe, Krsn, et Tacteel, dans le secteur ce jour-là.
Be there or be squared, qu'ils disaient.
=> ON AIR ON JUNE RADIO :
Pour être franc, la plupart des trucs qui tournent en ces temps sur les platines sont souvent des instrus hip hop, des trucs du genre. Ben ouais, je suis encore dans la phase "youpi, j'ai des platines à la maison", donc va falloir du temps avant que je cesse de casser les oreilles des gens dans la même pièce que moi. Pendant ce temps-là, Drine fait péter le dernier Emilie Simon et le Gnarls Barkley a donf dans son bureau. Vengeance.
MESSAGE A CARACTERE PERSONNEL :
J'ai un message pour certains de ceux qui liront ces mots : le projet secret du professeur J. progresse bien, poussé par une espèce d'énergie venue d'on ne sait où, mais qui fait avancer le schml... le shcmi... Bref. En un mot comme en cent, je vais bientôt vous relancer, les aminches. Vous voilà prévenus.
Allez, zou.
Demain sera un autre jour.
Hop là.
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