Il y a plusieurs manière d'acheter un bouquin sur internet.
Quiconque aura pris connaissance des divers débats du moment concernant notamment la hausse de la TVA sur le prix du livre sauront désormais qu'il y a très, très peu de branches du commerce où l'on marge de manière aussi ridicule. On peut donc dire que ces bonnes nouvelles, couplées avec l'avec l'avènement annoncé du livre numérique, devraient bien finir par avoir la peau des quelques libraires indépendantes dignes de ce nom, avant que tout ceci ne finisse comme ce fût le cas pour les disquaires. Oui, bon, il y a plein de différences, et notables de surcroît, je le sais bien. Mais c'est le weekend et c'est mon blog, je suis fatigué, je dis ce que je veux, hein.
En attendant donc que tous ces enfoirés de libraires crèvent les uns après les autres, je crois que cela vaut le coup, par exemple, de se rappeler qu'il y a des libraires qui vendent en ligne. Alors certes, la dimension conseil en prend un coup (le premier connard qui me sert le couplet de la puissance des algorithmes en remplacants modernes d'un libraire en chair et en os peut tout de suite aller mourir loin, merci), mais quitte à ne pas pouvoir se procurer tel ou tel livre ailleurs que via le net, autant éviter ces sacrés fils de pute que sont Amazon.
Et là aussi, on me dira : certains petits libraires n'hésitent pas à passer par Amazon pour obtenir un revenu complèmentaire, après tout. Eh bien qu'ils aillent se faire foutre. Je veux bien entendre que c'est commode de bénéficier de la puissance de frappe d'Amazon, que c'est pratique de ne pas avoir à se faire chier avec son propre système de vente en ligne, que c'est un bon plan sur le versant économique, finalement.
Qu'ils aillent ouvrir une concession automobile, ou qu'il se reconvertissent opticiens, je sais pas moi.
Comment peut-on avoir envie de dealer avec ces enculés de première : http://gawker.com/5865612/amazon-launches-christmas-attack-on-local-shops ?
Ouhlàlà ça m'énerve. Aucune leçon tirée de la manière (différente, ok, ok, je l'ai déjà dit hein) dont le disque s'est vautré de son confortable siège, pour devenir une économie en mutation longue durée (ça n'est pas fini) qui a précipité pas mal de zozos chez Pôle Emploi (et pas que des stagiaires chez EMI, hein : je pense aussi -et surtout- aux disquaires, notamment, vous en connaissez encore, vous ?).
Ah là là...
Quiconque aura pris connaissance des divers débats du moment concernant notamment la hausse de la TVA sur le prix du livre sauront désormais qu'il y a très, très peu de branches du commerce où l'on marge de manière aussi ridicule. On peut donc dire que ces bonnes nouvelles, couplées avec l'avec l'avènement annoncé du livre numérique, devraient bien finir par avoir la peau des quelques libraires indépendantes dignes de ce nom, avant que tout ceci ne finisse comme ce fût le cas pour les disquaires. Oui, bon, il y a plein de différences, et notables de surcroît, je le sais bien. Mais c'est le weekend et c'est mon blog, je suis fatigué, je dis ce que je veux, hein.
En attendant donc que tous ces enfoirés de libraires crèvent les uns après les autres, je crois que cela vaut le coup, par exemple, de se rappeler qu'il y a des libraires qui vendent en ligne. Alors certes, la dimension conseil en prend un coup (le premier connard qui me sert le couplet de la puissance des algorithmes en remplacants modernes d'un libraire en chair et en os peut tout de suite aller mourir loin, merci), mais quitte à ne pas pouvoir se procurer tel ou tel livre ailleurs que via le net, autant éviter ces sacrés fils de pute que sont Amazon.
Et là aussi, on me dira : certains petits libraires n'hésitent pas à passer par Amazon pour obtenir un revenu complèmentaire, après tout. Eh bien qu'ils aillent se faire foutre. Je veux bien entendre que c'est commode de bénéficier de la puissance de frappe d'Amazon, que c'est pratique de ne pas avoir à se faire chier avec son propre système de vente en ligne, que c'est un bon plan sur le versant économique, finalement.
Qu'ils aillent ouvrir une concession automobile, ou qu'il se reconvertissent opticiens, je sais pas moi.
Comment peut-on avoir envie de dealer avec ces enculés de première : http://gawker.com/5865612/amazon-launches-christmas-attack-on-local-shops ?
Ouhlàlà ça m'énerve. Aucune leçon tirée de la manière (différente, ok, ok, je l'ai déjà dit hein) dont le disque s'est vautré de son confortable siège, pour devenir une économie en mutation longue durée (ça n'est pas fini) qui a précipité pas mal de zozos chez Pôle Emploi (et pas que des stagiaires chez EMI, hein : je pense aussi -et surtout- aux disquaires, notamment, vous en connaissez encore, vous ?).
Ah là là...
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Tiens donc ! mise à jour du 20/12/11, via Çà et Là sur facebook :
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Bon, c'est pas comme si la vie c'était de la merde et qu'on apprenait que notre ministre de l'intérieur de notre beau pays fransssais était visiblement mêlé à une sale affaire dont personne ne semble avoir envie de parler...
Rien à voir :
- Steve Albini est vraiment fort, et ceux qui prétendent le contraire devraient avoir honte.
- Monsieur Charles Burns a réalisé une fort jolie couverture pour le onzième numéro de Smoke Signal.
Et puis donc, quelques images qui bougent toutes seules, c'est bien commode quand même... Petite sélection avec notamment :
- un type complètement foufou, mais qui vole, lui (pendant que toi t'a le cul collé sur ton fauteuil à lire mes conneries ; eh ouais, on a la vie qu'on mérite hein) (rhôôôô ça va, si on peut plus rigoler) :
- un type complètement foufou, mais qui vole, lui (pendant que toi t'a le cul collé sur ton fauteuil à lire mes conneries ; eh ouais, on a la vie qu'on mérite hein) (rhôôôô ça va, si on peut plus rigoler) :
- une leçon de dessin de Jim Woodring (bon, on est entre fans absolus, là, hein, cette vidéo ne devrais pas causer de crise d'hystérie, présentant un intérêt somme toute assez limité si on est pas un inconditionnel du bonhomme) :
- "Black up", un petit objet vidéo accompagnant la nouvelle sortie d'un des meilleurs projets hip hop de ces dernières années, Shabazz Palaces (perso, j'ai une préférence pour les deux premiers maxis, l'album paru cette année déboite tout mais m'a moins décollé le tympan que je ne l'aurais souhaité...).
Ne boudons pas notre plaisir, check check check :
- au moment où naissait la chanson ci-dessus, à quelques semaines près, The Cramps (accompagnés par The Mutants), jouaient dans un hopital psychiatrique, comme ils en avaient visiblement l'habitude.
Une vidéo inaltérable témoigne de leur passage au California State Mental Hospital, à Napa. Lux Interior semble être dans son élément, c'est assez flagrant, pendant que ses potes, à défaut de jouer droit, se prennent au jeu aussi. Au mileu de tout ça, une poignée de "patients" et les types de Target Records pour qui la vidéo, ca n'est pas une blagounette, non madame :
- on aime ou on déteste Miranda July. Je raffole de son approche des images qui bougent, et cette courte vidéo (autour de son dernier film, "The Future"), résume bien la poésie de la nana, à laquelle on adhère ou pas :
- Et pour finir, attention attention, rien moins d'autre qu'un chef d'œuvre proposé par les internets :
Bonne nuit les amis.
2 commentaires:
pté t'avais vu cette vidéo de Jim Woodring dessiner avec une plume géante ? (je suppose que oui)
Super, ton topo sur les libraires ! gros poutous !
Ah salut petit Dahlia de l'ouest !(*)
Ouais, il est bien foufou, le coup de la plume géante c'était assez bonnard à voir en tout cas, j'aimerais bien essayer à l'occas...
Merci pour les mots. Je sais que FCBK c'est pas une fin en soi mais... Tu nous manques, là-bas ! Bibises et à toub j'espère ouais.
(* = ouais, ouais, nimp, hein...)
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