1 septembre 2016

Martha & Alan.

L'avant-propos le plus court du monde : il y a environ un mois, je postais une note préambulatoire à celle-ci ; just sayin'...
Bon.
Je bosse actuellement sur un projet d'expo qui m'amène à relire tout ce qui est relatif à ce cher Emmanuel Guibert. Ça n'est pas ce qu'on peut appeler une tâche très ingrate, j'ai plutôt tendance à en redemander, et puis ! Ça me permet de redécouvrir des choses...
Comme par exemple cette page estampillée "inédite" lors de sa publication dans l'excellente Monographie prématurée qui lui était consacrée, et paru il y a une dizaine d'années tout juste aux Editions de L'An 2.


Me voilà rassuré.
Car en lisant Martha & Alan, le nouveau bouquin d'Emmanuel qui paraît ces jours prochains à L'Association, j'ai eu quelques moments dont je ne saurai dire s'ils étaient des sentiments de déjà-vu (adaptés à la lecture d'un livre ; après tout, pourquoi pas ?) ou de drôles de réminiscences personnelles altérées par le temps qui passe ; après tout, ce nouveau livre de la saga d'Alan Ingram Cope évoque un sujet bigrement universel qui devrait résonner chez beaucoup, de bien des manières...

Je ne veux pas en dire trop, ce livre mérite qu'on le découvre sans en savoir trop. Mais l'auteur a décidé de changer radicalement de technique, de mise en page, de manière de raconter la vie d'Alan, ses souvenirs, entre le moment où il a réalisé la planche ci-dessus et la façon dont il a achevé le nouveau livre consacré à Alan. Je ne montre évidemment pas la nouvelle, cela vaudra la peine d'avoir le livre en main ; livre de très très belle facture, au demeurant.
Et il ne m'en fallait pas plus pour avoir envie d'en faire une note de blog, au moment précis où le projet cité plus haut devient chaque jour un peu plus concret. Ça va être bien cool. Enfin j'espère ! On a le temps d'en reparler.

Néanmoins, pour les curieuses et les curieux, France Inter suit Emmanuel de près ces temps-ci.
Check it, ça vaut la peine. Il est fort, le bougre.


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