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2 mai 2017

Trois jours en Bretagne.

Trois jours en Bretagne, entre Cancale et le Cap Fréhel, avec un crochet par Saint-Malo et Dinard.
Liste non-exhaustive de choses dont il faudra, dont il faudrait se souvenir : quelques ampoules aux pieds ; la frangipane maison à L'Hirondelle (Cancale) ; les connards au volant de leur Golf ; les galette-saucisse, pardi ; le cerf-volant dans la cour de la belle maison perchée juste au sud de la plage du Saussaye ; l'inintéressant centre commercial intra-muros de Saint-Malo ; le spot désert et foncièrement dingo au Cap Fréhel ; un peu de soleil, un peu de flotte ; une grotte, un phare ; le chien le plus heureux du monde dans les rochers de la Pointe du Groin ; des réminiscences de mes séjours en Irlande : bon sang, mais c'est bien sûr, j'aurais dû m'en douter ; des panoramas impressionnants, des maisons toutes grises, et la fameuse lumière du coin.
C'était vite fait, mais c'était super chouette.






















6 octobre 2013

Trop de nouvelles tuent les nouvelles.

Ma dernière note de blog remonte à ce qui me semble être un siècle.

C'est pas plus mal : lorsque je la survole, je me rends compte que j'aurais très clairement pu me laisser porter sur la gentille vaguelette un peu spleenienne, un peu foireuse, qui accompagnerait parfaitement l'arrivée de l'automne, et l'archivage de la belle expédition estivale. Mon moi naturel est plutôt bon pour ça, mais je le connais, et je lui en fiche plein la tronche pour l'occuper, c'est une technique qui a fait ses preuves, ah ah ah.
Cette expédition, d'ailleurs, n'en finit plus de faire des remous de toutes sortes (on y reviendra tôt...), globalement très positifs et prometteurs pour l'avenir de l'association ChiFouMi, ce qui me réjouit, bien entendu. Et de fait, je tente de surfer sur cette belle énergie pour faire tenir toutes les choses (à faire urgemment, évidemment) dans mon agenda de fin d'année, ce qui ne me laisse pas beaucoup de temps pour pleurnicher avec mélancolie en pensant à mon été 2013.
Tant mieux : des choses, il y en a à faire !

Et comme je suis à la bourre sur tout, je balance de la photo comme un malpoli : pas le temps de trop blablater aujourd'hui, tout juste celui d'éprouver un peu de honte à publier des tophs aussi moches.

Résolution pour cette rentrée :
dans une semaine, je repars quelques jours pour l'Île de Ré (seul, pour la première fois), pour Angoulême puis par Poitiers, tout ça pour parler du futur (que nous réserve-t-il, n'est-ce pas...), j'essaierais de ne pas me contenter de photos faites au portable à l'arrache.
Voici donc un époustouflant florilège de mes dernières productions, ah ah ah.

Ballade dominicale avec les copines et les copains. Besac, c'est un peu déjà la campagne hein.

Dernier dimanche de septembre, à 15 minutes à pied du centre ville. Cette ville est morte, mais elle est belle.

On avait bien mangé alors on est pas allés trop loin non plus, faut pas déconner.

Cultures Maison à Bruxelles avec Kuti Kuti. J'ai pris quatre photos seulement. Moi blaireau.

Autre souvenir de Bruxelles avec le brunch dominical chez Thalie et Max. Miaaaaaam.

Pure photo de merde : Clear Soul Forces en concert à Dijon. Detroit, mthrfckrs. C'était chaaaaanmé.

En septembre, mon chat a dessiné plusieurs planches pour plusieurs contributions à divers fanzines et collectifs.

Cela fait des années que je veux prendre ça en photo. C'est à la sortie de Besac direction Belfort, et c'est là
que Futura 2000 fait fabriquer des têtes de Pointmen géants depuis des années, sans que personne ne le sache.

En septembre j'ai rangé mes disques.

C'était le bordel mais bon.

Dernière photo du trip Cultures Maison à Bruxelles.
Des chouettes gens partout, et une belle poignée de copains.

En septembre on a fait notre pique-nique amapien, à la campagne. Des gens cools et des bestioles. C'était chouette.

Je pense que c'est une belle idée de finir cette note de blog sur une photo de grosse truie. Dont acte.

ps : je vous avais prévenu en ce qui concerne la piètre qualité des tophs, et je m'en excuse une fois encore hein...
ps : j'écoute pas mal de hip hop du moment ces dernières semaines, et je me disais que j'avais du mal à savoir lequel je détestais le plus de 2 Chainz ou de Weezy. Je veux dire, je déteste Kanye, je déteste Wiz Khalifa, je déteste A$ap Rocky et plein d'autres types qui cartonnent dans le rap jeu, mais en revanche j'aime beaucoup Kendrick Lamar (par exemple, hein ; c'est pour rester dans la catégorie "je cartonne sévère"), et je me demande toujours comment ces types cohabitent, au delà des featurings-bouclages-de-fin-de-mois, ou des sincères collabs entre potes. Par exemple, quand Kendrick pose chez SchoolBoy Q., ça me fait quelque d'apercevoir la tronche de Macklemore, tout comme ça me fait rigoler de voir comment il fume Drake sur "Fuckin' problems". Mais pour autant, tout ce petit monde cohabite, et c'est probablement l'un des gros trucs qui différencie le rap jeu d'aujourd'hui et l'industrie du disque de peura d'il y a, disons, quinze ans. Il me semble. Mais je sais pas pourquoi je dis ça, tout le monde s'en fout de mon analyse succincte du marché du disque côté hip hop hein. Bref.


11 septembre 2011

De la soul et des contraintes.

Hop hop hop hop, à trois semaines de Pierre Feuille Ciseaux (samedi 8 et dimanche 9 octobre 2011, à la Saline royale d'Arc et Senans), un peu d'autopromotion pour quelques événements à venir... Vu l'emploi du temps qui s'annonce pour le mois qui arrive, il n'est pas dit que j'aurais le temps de raconter trop de conneries ici avant un moment, aussi je balance en vrac pas mal de choses prévues pour très bientôt...

• Ce dimanche 18 septembre, de 14h à 19h, "Popcorn à la plage",
un après midi de bonne musique et de soleil (on croise les doigts en tout cas) sur le pont de la Péniche Cancale, à Dijon.

Avec la clique habituelle des copains dijonnais, et Melik et ma pomme, ainsi que les donuts des lyonnais d'Hello Brooklyn.

• Samedi 24 septembre, je serais à Poitiers, pour la nouvelle édition des Rencontres du Neuvième Type,



Toutes les infos sur cette belle manifestation sur leur site ici.
J'animerais une rencontre avec les argentins Diego Agrimbau et Lucas Varela, ainsi qu'avec Pascal Jousselin et François Ayroles. Voilà une belle clique, j'ai hâte, on y parlera de la contrainte dans l'écriture, de choses oubapiennes, de choses de ce genre.

Le reste arrive !

17 février 2011

La justice ?

Je dédicace la phrase commençant à la cinquante-sixième seconde de la vidéo à tous mes amis qui m'ont aidé à passer une très bonne journée au Conseil des Prud'hommes de Besançon.



Ouais, c'est pas tous les jours que je vais balancer du peura français ici-bas, attation.

Pour faire court :
- c'était aujourd'hui la reprise d'une certaine affaire prudhommale,
- il s'agissait une audience où quelques uns de mes anciens collègues ont été invités à s'exprimer : bizarre de se replonger communément dans certains moments qui ont déjà plus de deux ans...
- la partie adverse semblait manquer de biscuit (bon ça je le sais, manque plus qu'à ce que cela soit avéré),
- mon avocate est l'avocate la plus classe du monde,
- mes collègues ont cartonné,
- il semblerait que cela se soit plutôt bien passé dans l'ensemble mais...
Mais une première délibération sera rendue publique le trente et un mars ; bon, ils m'ont déjà fait le coup, ca peut tout à fait être encore repoussé. Mais bon. Je suppose que tout cela progresse.

Voilà pour le gros de cette semaine un brin pénible ; tout à l'heure, après avoir bu un coup avec les anciens-collègues-toujours-copains, je suis allé imprimer les copies du petit fanzine réalisé à l'occasion de la soirée BesAngeles qui aura lieu demain vendredi 18 février à la Péniche Cancale, à Dijon, avec les copains. Il sera distribué dans un cd produit pour la soirée, dans un étui pondu en lino. Ouais, ça se lâche sur les soirées un brin fantaisistes, n'est-ce pas, du côté dijonnais.
Je dois avouer que j'ai un petit coup de barre après la soirée à La Rodia hier soir, je reviendrais sur les très bons zozos qui s'y produisaient, mais pour l'heure, je fais un méga big up aux gens ayant participé au petit zine sobrement intitulé "hip hop". Ouais, il fallait faire court, il fallait trancher...
Cimer donc P.E.E.P.S, Gilles Rochier, Panzer Kardinal, Gautier Ducatez, Guillaume Long, SLurg, Narqo/Miqi O., Arthur Wurk, Mélik B., dj Vadim, Cristalo, Sandy L., 1000Names, José S., Ronald Grandpey, Prof Ojo, Feet... Pour avoir donné un peu de leur temps sur ce projet lancé bien à l'arrache, et réalisé intégralement en moins d'une semaine, entre la première prise de contact et la session agrafage que je viens de m'envoyer.
Ca reste un microzine fait à l'arrache, mais bien plus que le résultat final, c'est l'ambiance "allez on y va" durant ces quelques jours qui m'a fait passer un bien bon moment. 

Rendez-vous demain à La Cancale ? On devrait passer pas mal de hip hop...

Tiens en parlant de ça, vite fait : Dilla forever.
"Allez, salut." (©LCA)

10 février 2011

Fanzines, OuBaPo et mange-merde.

Ah, la bande dessinée.

Alors que j'essaie de finir un minizine traitant en long, en large et surtout en travers de ce que peut signifier "hip hop" pour moi (et quelques copains, enfin on verra au moment du bouclage, la deadline étant repoussée à ce dimanche...), qui sera distribué GRATOS par les copains qui organisent le prochain apéro Soul Food à la péniche Cancale, à Dijon, vendredi prochain (le 18/02), pour accompagner une soirée où il sera principalement question de hip hop (pardi), je réalise que je n'ai pas encore relayé une information pour les plus bisontins, les plus doubistes, les plus franc-comtois d'entre ceux qui atterriront ici :
(le visuel de l'expo, réalisée par des étudiants des Beaux-Arts de Besançon)
Exposition de présentation de l’OuBaPo,
(revue et corrigée depuis sa première mouture à PFC#2 l’an dernier),
Médiathèque Pierre Bayle, 25000 Besançon,
 à partir de demain mardi 8 février et jusqu’au 4 juin 2011.

Il s'agit d'une proposition conjointe de l’association ChiFouMi, de la médiathèque Pierre Bayle, en partenariat avec l’Ecole Régionale des Beaux-Arts de Besançon et avec la maison d'édition L'Association (celle-là même qui fait couler beaucoup d'encre en ce moment même, ouais).
Une petite vidéo de présentation de cette modeste exposition qui présente les principales points de départ oubapiens, avec des choses à voir, et d'autres à tripoter :



D'ailleurs, à ce sujet, ce soir, j'ai soigné ma constipation en perdant cinq minutes de ma vie sur le pire site de branlage de nouilles que la bande dessinée a pu engendrer.
Un site géré d'une poigne de fer par un ramassis de faux-culs rétrogrades, probablement encore persuadés qu'il y avait de chouettes choses dans la collection Vécu, et qui doivent opiner du chef en lisant les commentaires qui sont postés "chez eux" au sujet de l'œuvre de quelqu'un comme Dominique Goblet, qui, pour résumer, ferait de la merde conceptuelle pleine d'artifices.
Avec des œillères plus grosses encore que leur propre connerie, et des hectolitres de bile en guise de réponse-à-tout, ceux-là critiquaient le jusqu'auboutisme et l'aveuglement de certains acteurs de la bande dessinée mais jouent aujourd'hui dans la division supérieure, celle de ceux qui bavent comme ils respirent, sans vergogne, à agiter tel spectre quand cela les arrange, à préférer jeter de l'huile sur le feu plutôt que de remuer leur cul pour trouver le moyen de fédérer les amateurs d'une bande dessinée "marginale", qui était encore récemment en ébullition pour cause de vraie putain de grosse crise merdique et poisseuse, de celle dont on ne s'extirpe pas indemne.
Pour autant, ne leur en déplaise, "d'autres voies sont possibles", et l'histoire est en train, lentement mais sûrement, de leur prouver qu'ils avaient tort de tirer à vue sur l'ambulance, même s'il sera toujours plus commode de prétendre le contraire lorsque la fumée sera dissipée.
Il y a quelque chose de touchant de voir un type comme Didier Parlamonique passer autant de temps à conspuer, à étaler sa merde (et en l'occurence, celle des autres), à ne pas se remettre d'avoir été offusqué une fois dans sa vie (ok, une fois ou deux, mais bon, il l'avait bien cherché, le bougre), symbole inattaquable qu'il semble persuadé d'être.
Ce qu'il me semble, c'est que comme dans un mauvais film caricatural (on ne s'éloigne jamais trop du sujet, finalement), un héros très gentil n'est rien sans un méchant très méchant ; et le jour où une certaine structure sera réellement sur les rails de sa propre fin, où le vilain bonimenteur sera hors-circuit, que deviendra l'homme sage abritant derrière son divin front la raison, la justesse, l'analyse juste et finaude, tout cela à la fois, en mieux encore ?
Peut-être qu'il tombera de son perchoir, et que de nouveaux chroniqueurs spécialistes en vacuité et en états d'âme à la manque viendront prendre sa place (a toute chose malheur est bon) ; il y a un ou deux contributeurs qui prouvent actuellement qu'on ne peut pas généraliser en disant qu'Actuabd, c'est de la merde en barre, par exemple. Mais grands dieux, ils sont rares (et d'autant plus précieux), et ont bien du courage à œuvrer avec une telle andouille géante à leurs côtés.
Vite, que L'Association se remette sur pied. Que les gens qui ont fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui, de l'éditeur historique au magasinier, que tous ces gens là prouvent vite qu'ils ne sont pas destinés, fatalitas, au sort que d'aucuns sont en train de leur écrire prématurément.
Au delà des pro-machin et des anti-truc, le camp qui rassemble le plus de gens, c'est bel et bien celui qui rassemble des lecteurs et des auteurs, des libraires et des curieux, qui ont aimé les bouquins d'hier, qui aiment ceux d'aujourd'hui, et qui ont envie d'aimer ceux de demain.
Pour ça, il va falloir les trouver, et puis les éditer. 
Je me relis et je me rend compte que tout cela sonne discours centriste à la con, du coup je vais envoyer derechef un CV à François Bayrou.
 
Mais bon c'est pas tout ça, j'ai un zine sur le feu, moi.
Hop.

4 février 2011

Deux milles bonzes.

Nous sommes vendredi, je viens de contribuer à défaire une grosse pelote de merde, l'un des 7654326754 projets de mon quotidien du moment ("ouais, ton quotidien, quoi... - ta gueule."), je suis content mais comme j'ai pas envie de saoûler le monde pour si peu, je me réfugie dans la vie numérique machin, on est tellement bien ici.
J'ai douze milliards de choses urgentes à faire, mais j'ai envie de m'imposer de mettre à jour ce blog, qui ne sert à rien ni à personne, mais qui, faut le croire, ne veut pas s'éloigner de ce quotidien, justement. Soit.

La vie à Besançon en ce moment ressemble à n'importe quel début d'année, à n'importe quel autre mois de février, ceux-là même où l'on ne met pas son gros blouson parce qu'il y a du soleil par la fenêtre, et où l'on revient penaud le soir avec la goutte au nez, les pieds glacés et l'envie de se plaindre d'avoir du sable chaud dans les baskets, oh oui putain, un peu de soleil merde, plein le cul de la Franche-Comté. Oui oui je sais, tu l'aimes ou tu la quittes, ce genre de conneries.

Je reviens d'Angoulême, qui ne ressemblait pas à n'importe quelle autre édition parce qu'il y était question de choses pénibles à vivre et à entendre, mais dont certaines heures passées en compagnie inattendue (mais chouette) laissent espérer qu'on parlera bientôt de tout ça en rigolant, un pot à la main, en feuilletant de prochains très chouettes bouquins. C'est ce que beaucoup de gens espèrent en tout cas, alors on croise les doigts, et on espère que la bonne volonté, l'idéalisme et ce genre de concepts désuets feront encore leurs preuves. Wait and see.
J'en ai ramené quelques souvenirs débiles, et comme à l'accoutumée, quelques rencontres, quelques retrouvailles, et aussi quelques caisses de fanzines et de bouquins. Je compte pas m'arrêter là, il y a plusieurs publications dont j'ai envie de dire du bien, ne serait-ce que pour ma maman, probable dernière lectrice de ce blog moribond-mais-qui-bouge-encore-parfois, sache quels jolis livres occupent l'esprit de son grand dadet de fils.

Dans une heure, parce qu'il faut bien vivre, j'irais servir des bières dans cette nouvelle salle que les bisontins n'osaient plus espérer, et dans laquelle on place beaucoup d'espoirs. J'ai un bon coach, même s'il stresse tout le monde avec son jus d'orange. Je renverserais probablement plein de bière tiède partout, mais je mettrais ça sur le compte de l'émotion, parce notre forever homie Feetwan vient d'être papa, et bordel, peut-être même que j'en boirais une aussi pour l'occasion, pour fêter ça, et oublier quelques merdes ; ah ben oui, on est en février, et en février, il n'y a pas grand monde pour collaborer à la mise en place effective d'un dossier de RSA perdu parmi tant d'autres. "Bon, tant que c'est que des histoires de tunes..."

En rentrant, au milieu de la nuit, le squelette transi, je prendrais quelques minutes pour parler d'autre chose. Enfin, quand je dis parler, nous nous comprenons, hein.

En attendant, je réécoute le volume final de la petite sélection faite à l'occasion de la prochaine Soul Food proposée par les copains dijonnais, en préambule à notre soirée "BesAngeles" de vendredi 18 février :

 Il y aura de chouettes surprises offertes aux gens qui se pointeront, c'est rien de le dire.
De l'objet collector avec de la musique mixée par les copains, et puis de la linogravure faite par la copine, du tirage limité, de la série ingaulable, etc, tout ça parce que comme on s'ennuie grave dans notre quotidien (ce même quotidien, oui, toujours lui), eh ben on se rajoute des choses à faire.
On sait jamais, peut-être qu'un jour on s'emmerdera. Mais pour l'heure...
En attendant, disais-je donc, je réécoute donc ce vrai-faux-mix avec dedans des choses de Blundetto (remixé par Blanka), Elan Tamara & Dimitri Grimm, Ricci Rucker & Mike Boo, Miguel Atwood-Ferguson, Wilder Zoby feat El-P, Egon, Oh No & J. Rocc featuring Guilty Simpson, Damon, Olivier Daysoul remixé par my bro Miqi O., et de la petite Angela Simpson.

On reparle du reste bientôt.
Know your enemy, make love not war, pisse and zob, et toutes ces conneries.
Pas vrai, Hercule ?