Merci madame la factrice !
Reçu quelques exemplaires du nouveau numéro du Fanzine Fraîcheur des Cafards, où j'ai battu mon record personnel de syntaxe déstructurée durant six pages et où j'essaie, avec plus ou moins de réussite, de partager mon amour inconditionnel de la série The Prisoner ("Le Prisonnier" en vf, dingue non ?).
Pour ce faire, j'emploie des mots comme : bordel, hiérarchie, génie, 12 mai 1968, proto-nihiliste, pâte à modeler ; et l'on y retrouve aussi, tant bien que mal, les frères Bogdanov, la ville de Saint-Etienne, Dale Cooper et Bob, où encore le numéro 25 de la série Marvel "The New Mutants".
Bonjour chez vous, hein.
La Fraîcheur des Cafards, c'est un chouette fanzine à super bonne gueule, piloté par le gars 🦗 Val Le Blond 🦗 depuis un bled de l'est : l'énergie qu'il fiche dans ces saloperies de fanzines depuis toutes ces années, c'est la plus belle des énergies de l'univers, voilà ce que je pense. C'est affaire de liberté éditoriale entre passionné.e.s et c'est là tout le principal : 120 pages remplies à ras bord, on aime les sujets ou en a rien à foutre et ça tombe bien parce que l'idée c'est pas d'accéder à une quelconque gloire ou à une reconnaissance fédératrice à la con, non non non. Loin des auto-proclamées auteurs et autrices prêts à signer n'importe quoi pour avoir leur nom sur un bouquin qui sera diffusé dans 4 librairies avant de retourner dans l'oubli trois mois plus tard, il y a le fanzinat, ce monde de simplicité, d'exigence mesurée, et d'ambition personnelle dirigée là où il le faut : le partage, et rien d'autre. 🔥
Les années passent et collaborer à des fanzines, c'est l'un des trucs dont je suis le plus satisfait dans mon existence. Même quand je me dis que tout de même, j'aurai pu me relire un peu mieux. Cimer Valounet !
ps : La Fraîcheur des Cafards est sauvagement soutenu par Kool Herc, chat de bon goût mais un peu endormi quand même.
ps2 : pour se procurer le dit fanzine, trouvez une librairie digne de ce nom, une distro pas trop loin de chez vous, ou adressez-vous directement à : lafraicheurdescafards@gmail.com, par exemple.
Affichage des articles dont le libellé est the prisoner. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est the prisoner. Afficher tous les articles
8 février 2018
25 mars 2017
Be seeing you ! (I told you so).
On m'a gentiment proposé de pondre un truc sur Le Prisonnier, à l'occasion des cinquante ans de la première diffusion du premier épisode (en septembre prochain). Voilà encore un matériau fictionnel dont on pourrait blablater pendant des heures et des heures : la copie que je vais rendre comporte 3836 mots, 23208 caractères, mais j'ai l'impression de n'avoir fait qu'effleurer le truc. Il y a certains sujets dont on devrait savoir rester distants, je le savais...
2 janvier 2017
Be seeing you.
Ça signifie très probablement quelque chose, quelque part : cette année, The Prisoner a cinquante ans.
Autant réviser, du coup.
Autant réviser, du coup.
1 mars 2013
It's insoluble, to man or machine.
Entre douze tonnes de trucs en retard, je fouine un peu dans ce qui existe, dans ce qui est paru (et qui est trouvable à droite ou à gauche - lire : sur les internets...) au sujet d'une chouette série télévisée anglaise datant de 1967, et que je me suis intégralement envoyée récemment, grâce au bon goût de madame en ce qui concerne les cadeaux d'anniversaire...
Trop de choses m'intriguent au sujet de The Prisoner, et j'en suis à vouloir vraiment certaines réponses. Non, pas celles-là ; ce serait trop facile. D'autres, pardi.
Et au hasard de mes recherches, je suis tombé sur cette affiche.
Alors je la poste, c'est parfois aussi simple que ça, l'existence, n'est-ce pas.
Admirez au passage le line-up de musicos, n'est-ce pas. En ce temps, ça déconnait pas, hein.
Ça, c'est justement un morceau qui apparaît dans le dernier épisode de la série en question ; rien à voir avec le film, si ce n'est la présence de McGoohan, donc.
Ah, ouais, pendant que j'y suis, à remuer série et musique dans ma petite boîte crânienne...
Le sixième épisode de la dite série ("The General") comporte un passage musical d'importance, ici, à partir de 37'33 (oui, il s'agit de l'épisode entier, le bon moyen de succomber ; ou pas du tout) ; aaatttation, tendez l'oreille hein, c'est clair durant une grosse vingtaine de secondes :
Bon, on entend cet interlude sonore à plusieurs reprises durant l'épisode, mais c'est à ce moment précis que l'on peut l'entendre le plus longtemps. Je vous laisse aller fouiner pour identifier qui était le compositeur ou l'ingé son sur cet épisode précis, mais... Ces quelques secondes sont précisément celles que Luke Vibert aura intelligemment pompé pour ce qui est, en ce qui me concerne, l'un de ses plus chouettes morceaux, qui a bientôt une douzaine d'années, ce qui ne nous rajeunit pas (ce morceau me fait invariablement penser à mon copain Feet ; mais je digresse) :
Voilà, je voulais juste en profiter, quoi...
Non, j'ai pas grand chose d'autre à dire, si ce n'est que dans les jours qui viennent, si tout va bien, je profiterais de ce petit espace "hors de facebook" pour poster quelques nouvelles fraîches, de belles nouvelles.
La vie n'est qu'un cycle, puisqu'on vous le dit !
Bonne nuit.
Trop de choses m'intriguent au sujet de The Prisoner, et j'en suis à vouloir vraiment certaines réponses. Non, pas celles-là ; ce serait trop facile. D'autres, pardi.
Et au hasard de mes recherches, je suis tombé sur cette affiche.
Alors je la poste, c'est parfois aussi simple que ça, l'existence, n'est-ce pas.
Ça, c'est justement un morceau qui apparaît dans le dernier épisode de la série en question ; rien à voir avec le film, si ce n'est la présence de McGoohan, donc.
Ah, ouais, pendant que j'y suis, à remuer série et musique dans ma petite boîte crânienne...
Le sixième épisode de la dite série ("The General") comporte un passage musical d'importance, ici, à partir de 37'33 (oui, il s'agit de l'épisode entier, le bon moyen de succomber ; ou pas du tout) ; aaatttation, tendez l'oreille hein, c'est clair durant une grosse vingtaine de secondes :
Bon, on entend cet interlude sonore à plusieurs reprises durant l'épisode, mais c'est à ce moment précis que l'on peut l'entendre le plus longtemps. Je vous laisse aller fouiner pour identifier qui était le compositeur ou l'ingé son sur cet épisode précis, mais... Ces quelques secondes sont précisément celles que Luke Vibert aura intelligemment pompé pour ce qui est, en ce qui me concerne, l'un de ses plus chouettes morceaux, qui a bientôt une douzaine d'années, ce qui ne nous rajeunit pas (ce morceau me fait invariablement penser à mon copain Feet ; mais je digresse) :
Voilà, je voulais juste en profiter, quoi...
Non, j'ai pas grand chose d'autre à dire, si ce n'est que dans les jours qui viennent, si tout va bien, je profiterais de ce petit espace "hors de facebook" pour poster quelques nouvelles fraîches, de belles nouvelles.
La vie n'est qu'un cycle, puisqu'on vous le dit !
Bonne nuit.
Inscription à :
Articles (Atom)