9 juin 2012

Vamos.

Oh le joli mois de juin que voilà.
Qu'il est mignon tout plein.

Alice Coltrane presents Turiya Sings "Yamuna Tira Vihari" (1982) :

Evidence featuring Fashawn "Same folks" (2011) :

€UR$UP (Greg Frite & Capten)"Les portes" (2012) :


Killer Mike ft. Bun B, T.I., Trouble, & El-P "Big Beast" (2012) :

Bentley Road "Kill the cobra" (1969):

Clear Soul Forces "Get no better" (2012) :

Johnny Mandel & Mike Altman "Suicide is painless (1970) :

Motion Sickness Of Time Travel "It is unfortunate but true" (2010) :

Allen Stone "Unaware (Live from his mother's living room)" (2011) :

Annette Peacock "Pony" (1972) :

Joey BADA$$ x Capital STEEZ "Survival tactics" (2012) :

Hop ! Une vidéo dingue de Ronald Grandpey, pour la sortie de son livre "Ils ont des nouveaux pouvoirs" (chez Misma), sur une musique d'Edison, "Zero Four" (2012) :

Chad VanGaalen "Peace on the rise" (2011) :

Tonstartssbandht "Blackcountry" (2009) :

Blu "Jesus" (2012) :

Tony Castles "Black girls in dresses" (2010) :

De l'air, du vent, l'océan, le temps de faire un break avec la grisaille bisontine (et sa filière suisse à moustaches) : j'ai pris des baskets et un k-way, et puis quelques bouquins...
"Waiting for the sun" de Barney Hoskyns, "La véritable du dernier roi socialiste" de Roy Lewis, "La mauvaise habitude d'être soi" de Martin Page et Quentin Faucompré (qui vient de sortir en poche, au passage), "Tarnac magasin général" de David Dufresne, "L'autofictif prend un coach" de Chevillard, "Perdu dans un supermarché" de Basara, un truc sur les pataphysiciens, les entretiens de Coltrane avec Michel Delorme, un Pynchon, un Potocki, "Entertainment" de Francesco Masci, du Carver et le "journal 1837-1840" de Thoreau, que j'ai hâte de lire au milieu des marais, entre deux échasses et trois sternes.



Ah ouais, j'ai aussi pris un guide des oiseaux chelous qu'on trouve dans l'ouest lointain.
Evidemment, je ne lirais pas un quart de tout ça, mais je déteste avoir à choisir comment remplir mes bagages, et je déteste tout autant me retrouver loin de chez moi avec l'envie d'ouvrir ce bouquin qui me faisait de l'œil depuis un moment, depuis une étagère, et l'impossibilité d'y plonger le nez. Donc en attendant, j'opte pour un cassage de dos le temps de traverser la Franssse. C'est ainsi, et c'est trop tard pour changer, comme disent les vieux cons.
Je suis bien content parce que j'ai pas une tune mais là où je vais, il y a un petit libraire qui brade d'excellents disques à des prix qui feraient fondre discogs sur le champ (genre une tuerie pour le prix d'une baguette de pain).

Des oiseaux, l'océan, des bouquins, hop.
Je suis parti.

A bientôt...

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