2 novembre 2014

Du grand n'importe quoi.

La nuit dernière, j'ai rêvé qu'on venait me chercher chez moi, dans ma chambre, pour me demander d'accompagner des gens (tous plutôt sympas) dans leur première virée dans les profondeurs de L'Agartha, dont ils prétendaient avoir trouvé un accès.
Comme ils ne voulaient pas que cette info tombe dans de mauvaises mains, je devais faire vachement gaffe et adopter des ruses de sioux de première catégorie pour semer les gens qui pouvaient éventuellement me suivre. Un trip paranoïaque dans un rêve, c'est assez singulier, hein, en tout cas c'était une première pour moi.


Tout était très réaliste, notamment mon excitation à me rendre dans l'Himalaya, où se situait le fameux accès.
Mais avant cela, je devais conduire une Twingo sans carrosserie jusque dans le sud, à Bugarach, où se trouvait un type qui devait me remettre un plan de vol. Arrivé là-bas, je proposais à ma copine de rendre visite à nos amis montpelliérains, et alors que j'espérais qu'elle me dise qu'elle voulait venir avec moi au Népal, elle m'annonça que nos chats attendaient des petits et qu'il fallait bien que quelqu'un s'en occupe... Au même moment, un choc retentit : un arbre était tombé sur la voiture, et cela me fit tellement peur qu'aussitôt j'ouvrais les yeux, un peu paniqué dans mon lit.
Réveillé, j'allais aux toilettes pour constater qu'une planche de frisette du plafond était tombée sur mes chiottes (il y a des travaux depuis quelques semaines dans l'appartement du dessus...). Il ne me restait plus qu'à finir ma nuit, pour me réveiller quelques heures plus tard dans une espèce d'étrange hébétude, reposé et serein.

Cet après-midi, un copain poste un commentaire sur facebook où il évoque Bugarach. Soit je deviens fou soit ce monde est en train de me faire une blague.

A part ça ? Rien.
La suite (passionnante, bien entendu) bientôt.

Aucun commentaire: