1 septembre 2005

BA DE YAAA - SAY DO YOU REMEMBER BA DE YAAA - DANCING IN SEPTEMBER BA DE YAAA - NEVER WAS A CLOUDY DAYYYYY

Oui, parfaitement, Earth Wind & Fire in the place, ouaich, yo.Hum. Non, hein, je déconne. Bref, pardon...

Alors bon, toujours peu de temps à consacrer au blog ces jours-ci ; non pas que l'envie me manque, mais une fois de plus, le temps, quant à lui...

La rentrée et son cortège de sorties lamentables (j'ai une liste, j'ai une liste) remplissent les cartons et les journées avec une cadence soutenue, et les vacanciers rentrent à la maison, dépités et donc désagréables pour la plupart (je sais de quoi je cause, je le suis encore moi-même), avides d'une nouvelle daube cosmique ou d'un énième épisode d'une série bidon. Aaah, quel pessimisme, quelle critique merdique, quelle tête de con ce jUne, hein...
NAAAAAAN ! Il y a qund même quelques forts bons bouquins qui sont sortis ces derniers jours, et non, je ne parle pas de "La Possibilité d'une Ile", que je n'ai pas lu, que je ne lirai pas, et dont, comme vous j'en suis sûr, je me tamponne le cul par terre jusqu'à plus soif.
D'abord, plusieurs lectures aussi diverses que super-valables, j'ai envie de dire : dans des registres très différents, on a donc droit à des trucs comme "Le roi blanc" de David Toffolo, "Achtung Zelig!" de Gawronkiewicz et Rosenberg, ou encore "Big Head" de Jeffrey Brown (première traduction française pour Jeff -courtesy of 6 Pieds sous Terre-, et qui devrait bientôt avoir de nouvelles traductions chez Ego-Comme-X) ; je suis encore à la bourre sur pas mal de nouveautés, mais ca arrive, et pour ceux que ca interresse, je peux aussi faire une liste de merdes à ne pas acheter ; oui, oui, de merdes.



































Le numéro 7 de le meilleur fanzine de l'univers devrait respecter le calendrier fixé par les facheux qui s'en occupent, et au sommaire, innovation avec l'arrivée du premier contributeur non-Bisontin, sous la forme de 2 précieuses planches du non moins précieux Ibn Al Rabin ; toute l'équipe se sort actuellement les doigts du cul pour faire de ce numéro "spécial rentrée", ou "spécial retour de vacances" (peu importe), un futur monument de la bande dessinée underground progressiste de l'histoire du 21ème siècle, voir de l'histoire tout court. Louis-Bertrand Devaud s'est même fendu d'une couverture inédite pour couvrir ces 680 pages de pur bonheur graphique (sommaire en cours). Oui, oui, 680 pages. Ca rigole pas avec l'Affaire du siècle tome cinq, hein.
D'ailleurs, je pose ici une question de la plus haute importance aux contributeurs, memebres du Komité éditorial, et autres lecteurs, pourquoi pas : quelle orthographe précise serait la plus classosse, la plusse mieux :
- "l'affaire du siècle tome cinq" ?
- "l'affaire du siècle tome 5" ? (admirez la nuance, la finesse, hein...)
- "l'affaire du siècle, tome cinq" ?
Non mais parce que la presse journalistique, écrite ou virtuelle, commence à s'emparer du phénomène, et peut-être qu'un nom précis, correctement orthographié une fois pour toutes, permettrait à ces joyeux driles de ne pas étriper notre projet ; moi je dis ça...

Sinon, dans la série "mais ou je vais mettre les pattes avec ce projet ?", je vais incessamment sous peu démarrer une carrière hollywoodienne, oui oui, un rôle et tout, on en parlera plus tard, mais encore un nouveau truc stimulant ; ah ah ah, ca m'excite, mais je suis pas sûr que ca soit un truc pour moi... Ma foi ?!
Comme disait le "chef des commerciaux" de mon ex-boite : "essayer, c'est se préparer à échouer". Sacré Fabrice.
















Et sinon, et pour la route, de bien belles façades, puis une nouvelle fois, la trash-tv repousse donc, une fois encore, les limites, et, ouf, on fête aussi le grand retour d'En Vrac...note : comme d'hab, peu de liens raportés ici sont de ma trouvaille, la plupart ont été glanés sur le blog de Chryde, le fournisseur officiel de la communauté blog francophone, ou bien chez Tom, dont le blog est à la hauteur de l'historique webienne du monsieur.

Bon, j'ai un gros repas pour ce soir à préparer (et un passage chez le primeur pour pouvoir le faire), 24895 mails sur le feu, une machine à étendre, 4 bouquins entammés en même temps (je déteste ca !) à finir, 15 coups de fil en retard (hello Laulau, Jules, Laure, Maman...), 6 planches en cours, et Drine est en train de dealer difficilement avec une vingtaine de cartons Ikea, éparpillés dans toutes les pièces de l'appart, la visseuse à la main, prête à tuer un meuble ou le parquet. Je crois qu'il est temps que je m'en aille.

Septembre, te voici, et tu me fais chier.

on air on radio-June :
- Monkey "summer fuck 05 (another compilation)", du gris beat et des pleurs de joie avec my homeboy Monk. A ce sujet, bientot du chopable en bac, Monk ? Yeahyo.
- Sly Stone "you caught me smiling", en parlant de pleurer de bonheur...
- Weldon Irvine "I love you", parce qu'on est lancés...
- la mini-session de Seu Jorge chez Peterson d'il y a quelques semaines...
- One Self "Blue Bird", car septembre pue du cul, et qu'on veux pas oublier les vacances, tels de petits collégiens au coeur brisé...
- Sa-Ra Creative Partners "Rosebuds", ils arretent pas de me faire tilter, eux...
- Build An Ark "You've Gotta Have Freedom (2 Banks Of 4 Remix)", mais pas en skeud : peut-être que l'ami Howie, depuis quelques semaines à Tokyo, saura retrouver, dans la jungle sonore de Shibuya, ce skeud que je cherche depuis un certain temps, PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !
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